Sciences participatives en milieu marin : l'exemple de BioLit
Après quelques années d'expansion, les premiers résultats du programme BioLit sont enfin dévoilés ! L'action Algues Brunes et Bigorneaux a la base de données la plus implémentée du programme BioLit, et permet ainsi de mettre en évidence certaines tendances de la biodiversité des milieux intertidaux.
Éric FEUNTEUN (Chef de la station marine de Dinard et Directeur du CRESCO - Muséum national d'Histoire naturelle) : professeur en écologie marine, ichtyologie et migrations. Etudes en biologie sous-marine et gestion de l'environnement et écologie littorale.
Lucile AUGER (Volontaire en Service Civique - Planète Mer) : diplomée de l'Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse (ENSAT), et master recherche en Ecologie (Rennes 1).
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Comment valoriser les données opportunistes en sciences participatives ? Défis méthodologiques et enjeux pour la biodiversité
A partir de quelques exemples issus de programmes existants, on identifiera les principaux problèmes : biais, absence de protocole, grand nombre et hétérogénéité des observateurs... Les approches pour résoudre ou contourner ces difficultés seront abordées dans le cadre de données en grand nombre.
Pascal MONESTIEZ (Directeur de Recherche INRA – BioSP et CNRS – CEBC) Statisticien de formation, j'ai développé des méthodologies d'analyse dans les domaines de l'environnement et de l'écologie : cartographie de distribution d'espèces, de la biodiversité, en relation avec les facteurs environnementaux.
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Structuration et pertinence d’une démarche de sciences participatives pour les scolaires
Isabelle LE VIOL (Maître de conférences - Muséum national d'Histoire naturelle) Biologiste de la Conservation. Sciences participatives.
Christian KERBIRIOU (Maître de conférences - Muséum national d'Historie naturelle) Biostatisticien, Biologiste de la conservation, Ecologue, SIG.
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Scientifiques, citoyens et biodiversité : comment une nouvelle alliance se dessine ?
Les sciences participatives existent depuis plus d'un siècle aux USA et en Europe. Réalité méconnue, qui alimente largement les données de la biodiversité, elles connaissent une évolution récente avec le numérique qui renforce cumulativité et démocratisation des connaissances.
Florian CHARVOLIN (Directeur de recherche au CNRS - Centre Max Weber) Chercheur en sociologie de l'environnement, j'ai travaillé sur l'histoire de la protection de la nature et de l'environnement, et me spécialise sur les sciences participatives d'une part et la question de la métrologie de la pollution de l'air de l'autre.
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Table ronde
Les maillons faibles de la valorisation des données de sciences participatives en recherche : que reste-t-il à faire ?