Le mercredi 24 janvier marque le démarrage officiel d’une thèse sur le programme Yaf Keru. Une thèse, c’est la période de préparation du plus haut diplôme universitaire délivrable et internationalement reconnu, en général d’une durée de 3 ans en sciences de la conservation.
A l’heure où les efforts de restauration des récifs coralliens ont atteint un tiers des objectifs, il est primordial de quantifier scientifiquement les bénéfices apportés par la restauration des coraux. Bien que plusieurs évaluations pilotes ont permis d’obtenir des résultats probants, la publication d’articles scientifiques dans le cadre de la thèse permettra de légitimer les résultats auprès de la communauté scientifique.
L’équipe de direction composée des co-directrices de thèse : Catherine Aliaume (Université de Montpellier – UMR MARBEC), Charlotte Dromard (Université des Antilles – UMR BOREA, en distanciel) ; de Laurent Debas (directeur de Planète Mer) et de Mickael Racine (Doctorant et ancien alternant à Planète Mer, ancien élève de Catherine Aliaume à Polytech Montpellier et de Charlotte Dromard à l’Université des Antilles) se sont réunis le 25 janvier au laboratoire MARBEC à l’Université de Montpellier afin d’achever les démarches administratives auprès de l’école doctorale GAIA.
Le sujet s’intitule : Les impacts de la restauration des récifs coralliens sur la biodiversité marine, la sécurité alimentaire et les dynamiques économiques locales en Indonésie, avec et pour les populations locales.